Puisque les éditeurs hésitent encore à me faire confiance, je repasse ma plume à l’encrier journalistique. Et vive le print ! Les journaux papiers pour rester entre nous… Bref, mes romans sur le féminisme, les vieux qui coûtent trop cher à la société, l’amour toujours ou la peinture en folie… ah, j’oubliais mes premières amours: le polar, tous ces beaux romans qui vivotent dans le premier oubli, ou attendent fébrilement un éditeur ou sont encore sur l’établi d’écriture, tous ces jolis romans font place ce jour à un courrier de lecteurs… Merci à 24Heures de m’accueillir (en tête de page) pour un faux lamento sur l’urbanisation galopante, la densification effrénée qui saisissent notre pays. Si cela vous plaît et peut-être vous chaut au coeur, écrivez-moi ! Sympa de partager !

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