Voilà pourquoi j’écris la biographie du peintre Edgar Mabboux. Pour l’émotion qui m’a saisi l’autre matin devant son chevalet. » Il n’est pas fini… » me dit l’artiste. Je m’en fiche, je suis sidéré. Ce mélange de lueur, de sombre, de couleurs enlacées me laissent pantois. Je prends une photo (celle ci-dessus) de piètre qualité, mais j’ai besoin d’emporter avec moi un morceau de ce geste qui me touche. Oui, j’ai eu raison d’entamer cette biographie incroyable ! Oui, je vais arriver à faire éditer cette histoire romanesque ! Oui, la vie est belle ! Incroyablement !
