Le bonhomme me fascine, il m’agace. J’aime Michel Onfray. À tel point que j’ai fini par m’abonner – pas adhérer – à Front populaire. Abonné, oui, mais pas fanatique de sa revue indépendante. Abonné oui, parce que j’aime cette manière qu’il a de me faire réfléchir, de me remettre en cause, de me dire que dans cette vie rien n’est facile, définitif, gagné. Pas fanatique, non, parce que le people Onfray me fatigue à force de passer – comme n’importe quel autre « faiseur d’opinion » – à la moulinette des sites audiovisuels parisiens. J’aime Onfray, comme j’aime Camus. Avec respect, sans m’agenouiller !

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