Le Joufflu !

Claude (tout à gauche) et Raphaël (au milieu), ce sont mes complices. La photo retravaillée date de 38 ans. Eh, oui ! Les trois, nous écrivons – ensemble et séparément – depuisAutant de temps… Aujourd’hui, on appelle cette amitié, le Joufflu. Une sacrée expérience personnelle qui me permet aujourd’hui de publier (bientôt) mon deuxième roman: La Voixdu souvenir est l’enfant illégitime de notre relation. Les Joufflu, je les aime comme des frères, des frères d’armes, à la manière d’un Claude Nougaro.

Onfray, mon frère

Le bonhomme me fascine, il m’agace. J’aime Michel Onfray. À tel point que j’ai fini par m’abonner – pas adhérer – à Front populaire. Abonné, oui, mais pas fanatique de sa revue indépendante. Abonné oui, parce que j’aime cette manière qu’il a de me faire réfléchir, de me remettre en cause, de me dire que dans cette vie rien n’est facile, définitif, gagné. Pas fanatique, non, parce que le people Onfray me fatigue à force de passer – comme n’importe quel autre « faiseur d’opinion » – à la moulinette des sites audiovisuels parisiens. J’aime Onfray, comme j’aime Camus. Avec respect, sans m’agenouiller !

Première actu !

Mi-janvier – ou presque – certains marins amis en prennent plein la gueule dans les 50 rugissants des mers du sud et moi j’envoie la grand voile pour lancer La Voix du Souvenir. Ces prochaines heures, mon deuxième manuscrit va passer un nouveau cap, celui du bon à tirer. Le BAT. Cela veut dire que le manuscrit est assez corrigé, pomponné, ciselé pour aller à l’imprimerie. Oui, à l’imprimerie ! Avec les Éditions Vérone, on espère vous le présenter au mois d’avril. Vous me suivez ? Vous présentez le livre en vrai ! Je me réjouis, j’ai les boules.